Je souhaiterais une Coca Light, SVP !!

Combien de fois, entendons nous cela à la terrasse d’un bar ou restaurant. L’étude E3N a suivi, entre 2003 et 2011,  61 440 femmes. Cette étude a montré une relation entre boissons dites “light” et un sur-risque de DT2. L’objectif de cette nouvelle analyse est de démontrer le lien entre fréquence et durée de consommation d’édulcorants dans l’alimentation et le risque de DT2 en intégrant l’impact de l’IMC.

Les résultats suggèrent que la fréquence et la durée d’utilisation des édulcorants dans l’alimentation exposent à un sur-risque de DT2 indépendamment d’autres facteurs principaux mais que cette relation est partiellement médiée par la corpulence des femmes.

Plutôt “Jamais ou rarement” d’édulcorant à la place du sucre que “Toujours ou presque” et ce d’autant que l’IMC augmente.

Je me souviens dans mes cours de DIU de diététique et nutrition, un professeur nous disant, je cite: “il vaut mieux, rarement un vrai Coca que souvent du Light”…

(CAD-7)

JS

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